Je crois qu’il est temps d’enlever les gants et d’appeler un chat, un chat. J’ai honte pour les soit disant journalistes de notre pays qui jouent le jeu d’une dictature étouffante qui comme la Corée du nord utilise encore les technique du Kremlin d’il ya 30 ans. A part le sport et un peu le monde du spectacle, tout ce qui s’écrit est dicté, coupé et collé des dépêches de la TAP, y compris quand il s’agit de lancer des campagnes de diffamation d’opposant notoires.
Je me permets de dire aux journalistes de notre pays, qu’ils sont des lâches. Et oui, c’est facile pour moi de le dire car je n’en suis pas un. Mais la différence, c’est que je n’ai pas choisi d’etre journalise. Alors qu’eux, ils l’ont choisi et doivent assumer leur responsabilité. Qu’est ce qu’ils pensaient quand ils ont choisi cette filière et quand ils ont postulé pour leur poste actuel ? C’était quoi leur aspiration ? De vendre leur âme ? De mentir ? de désinformer ?. Je ne crois pas que c’était le cas. S’ils ont fait leur boulot et qu’on les a empêché de publier, ils avaient le choix de démissionner ou de vendre leurs âme et leur éthique journalistique. Ils ont fait leur choix et ils méritent ce qu’on dit d’eux.
Je défie, quiconque en tant que journaliste qui contribue a ce crime envers les Tunisiens, de venir s’expliquer et nous éclairer sur la raison de ce silence.
Quand une région de notre pays vit des événements graves depuis des mois, sans qu’aucun n’ose les couvrir, tout en couvrant des marches de remerciement au gouvernement dans la même région, est le comble de la lâcheté et du lèche-Cu. Ou est passe leur âme, comment peuvent ils dormir la nuit, regarder leurs conjoints, enfants ou parents dans les yeux ?
Quand des gens meurent sous le coup des balles policières, quand les rumeurs parlent de flics qui volent et saccagent un village. Aucun journaliste local n’a posé les vraies questions, même lors d’une conférence de presse du ministre de la Justice. Ils sont aussi coupables que celui qui a tiré, oui ils le sont. C’est un double crime, le flic l’a tué et eux ils l’ont relégué et l’ont confirmé au rôle de perturbateur, pilleur, et pourquoi pas terroriste.
C’est écœurant, révoltant, dégoutant. Moi ces journalistes, je les méprise, je leur crache sur la figure même s’ils ne méritent pas ma salive.
Je remets me gants maintenant, ca fait vraiment du bien. Et si vous etes journaliste et vous vous sentez vise, vous avez une chance de s’expliquer et de me convaincre que j’ai tort et je vous promets mes excuses les plus sincères si vous y arrivez.
Je me permets de dire aux journalistes de notre pays, qu’ils sont des lâches. Et oui, c’est facile pour moi de le dire car je n’en suis pas un. Mais la différence, c’est que je n’ai pas choisi d’etre journalise. Alors qu’eux, ils l’ont choisi et doivent assumer leur responsabilité. Qu’est ce qu’ils pensaient quand ils ont choisi cette filière et quand ils ont postulé pour leur poste actuel ? C’était quoi leur aspiration ? De vendre leur âme ? De mentir ? de désinformer ?. Je ne crois pas que c’était le cas. S’ils ont fait leur boulot et qu’on les a empêché de publier, ils avaient le choix de démissionner ou de vendre leurs âme et leur éthique journalistique. Ils ont fait leur choix et ils méritent ce qu’on dit d’eux.
Je défie, quiconque en tant que journaliste qui contribue a ce crime envers les Tunisiens, de venir s’expliquer et nous éclairer sur la raison de ce silence.
Quand une région de notre pays vit des événements graves depuis des mois, sans qu’aucun n’ose les couvrir, tout en couvrant des marches de remerciement au gouvernement dans la même région, est le comble de la lâcheté et du lèche-Cu. Ou est passe leur âme, comment peuvent ils dormir la nuit, regarder leurs conjoints, enfants ou parents dans les yeux ?
Quand des gens meurent sous le coup des balles policières, quand les rumeurs parlent de flics qui volent et saccagent un village. Aucun journaliste local n’a posé les vraies questions, même lors d’une conférence de presse du ministre de la Justice. Ils sont aussi coupables que celui qui a tiré, oui ils le sont. C’est un double crime, le flic l’a tué et eux ils l’ont relégué et l’ont confirmé au rôle de perturbateur, pilleur, et pourquoi pas terroriste.
C’est écœurant, révoltant, dégoutant. Moi ces journalistes, je les méprise, je leur crache sur la figure même s’ils ne méritent pas ma salive.
Je remets me gants maintenant, ca fait vraiment du bien. Et si vous etes journaliste et vous vous sentez vise, vous avez une chance de s’expliquer et de me convaincre que j’ai tort et je vous promets mes excuses les plus sincères si vous y arrivez.
2 comments:
ce que tu dis est vrai à 95%, car il y a aussi des journalistes qui font leur boulot tel qu'il doit etre fait.
combien de fois aymen rezgui et sa collegue de la chaine "hiwar" ont-ils etes violentés? cela ne se compte plus! et ceux de "el mawkef"
"te7seb wa toghlot"
et hedi raddawi de "mouwatinoun" arreté depuis dimanche a redeyef!
il faut signaler ces gens car ils meritent notre respect
Nos journalistes n'ont simplement aucune liberté parce que les directeurs de journaux sont redevables à l'Etat de la licence qu'il leur octroie. Sans cette autorisation, délivrée au compte-goutte, et offerte à titre de récompense pour les "bons et loyaux" services de certains, aucune possibilité de sortir la moindre publication. Les journalistes, eux, sont au mieux de petits salariés. Dans 80% des cas, il s'agit de petit pigistes payés quelques dinars par articles. Et connaissant le taux de chômage des dplômés, ils n'ont pas vraiment le choix. Pensez-vous que dans ces conditions on choisit encore réellement son métier? La plupart préférerait ouvrir un café ou une boutique de marchand de légumes. Mais là encore, encore faut-il pouvoir se les payer. Alors l'honneur du journaliste... Trop facile en effet. Il faudrait déjà qu'il y ait une presse.
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