Monday, October 29, 2007

XXe anniversaire du Changement: On continue!!

Il n'ya meme plus besoin de commenter maintenant. On denigre et on defigure notre histoire de l'avant 11/87!! Mais la fin justifie t'elle les moyens?


L'œuvre du Changement : responsabilité et projection vers l'avenir

Par Mohamed ZINELABIDINE
Directeur de l’Institut supérieur de musique de Tunis

Hériter de la logique des années 1980 n'est point donné. Le Président Ben Ali s'y est engagé au détour d'une Tunisie qui voyait pointer son marasme. L'année 1987, c'est surtout l'agonie d'un régime quittant ses certitudes[...]

Deux décennies auront suffi au Président Ben Ali (1987-2007) pour assurer une sécurité psychologique, physique, matérielle et immatérielle afin que les Tunisiens aient confiance. La réussite politique pour lui, c’est d’abord rassurer, garantir la vie, la dignité, et au-delà, dissiper les doutes. La stabilité politique de la Tunisie est réserve de son croît et faveur de son progrès[...]

[...]c’est en raison de cette confiance partagée entre le Président et les Tunisiens, toutes corporations confondues, tous statuts réitérés autour de sa personne, autour de l’œuvre du Changement. La confiance, c’est aussi une adéquation réussie, un équilibre réajusté entre progrès économique et dimension sociale. Confiance au présent malgré les tumultes extérieurs, confiance au Président dont le Changement prend aussi une dimension humaine, voire émotionnelle qui ne résulte pas seulement de la quantification des réalisations en matière, mais aussi de leur qualification à toucher l’être humain, son for intérieur, son dépendant psychologique, sources et finalités de toute aspiration politique, de toute vie vivable[...]

[...]L’Etat renforce les classes moyennes pour que le développement profite à tous, sans exclusion. L’Etat consent des efforts incommensurables pour que les Tunisiens cultivent leurs aspirations, mesurément mais sûrement. La consolidation des droits civiques, moraux, au travail, au savoir, à l’expression, à la culture, au logement, aux loisirs sont autant de signes qui enseignent sur les réalités d’un pays dont les indicateurs tendraient peu à peu à rivaliser avec ceux de la rive sud de la Méditerranée[...]

Autant en relever les observations, les enjeux et les recommandations pour que le pays préserve ses richesses et abonde plus encore dans la réforme politique. Si la réussite de celle-ci puise dans l’action de ses faiseurs, ses décideurs, l’implication citoyenne permet néanmoins sa pérennité et sa sauvegarde contre les aléas de toute forme d’inconscience ou de banalisation des réalisations accomplies. Laquelle réaction est sujette à tous les contrecoups déplorables dans ce cours des événements mondiaux où, Tunisiens que nous sommes, nous avons tout intérêt à raffermir les liens et porter l’œuvre du progrès à son point culminant autour du Président Ben Ali. En tout cas, l’œuvre du Changement aura assuré au pays une mutation qualitative. Les Tunisiens s’en rendent compte au quotidien et gagnent à s’en réjouir tant que cet aveu permettra d’aller de l’avant, mieux encore dans le dessein de promouvoir l’ensemble des champs d’entreprise humaine et idéelle. De la pensée du Président Ben Ali, le Changement est une œuvre continuelle qui ne sait pas se contenter de l’acquis, mais se réinventer comme source inépuisable autant dans le discours que dans les faits.

4 comments:

Anonymous said...

C'est un abonné des articles "période 7 Nov" qu'est ce tu veux samsoum quand on ne réussit dans le 3oud on se met au "Tar" et ce gars là son tar n'as pas l'air de crever... Mon dieu pour s'assurer son poste de directeur de l'ISM !!!!!

Anonymous said...

berass elwalda trouves nous des traductions de la presse nord coreenne a la gloire de kim il sung et de son fils kim dae jong et fais nous une etude comparative!!!!

Anonymous said...

je ne sais pas comment t'arrive à tenir le coup et de lire ces bétises jusqu'au bout moi dés le titre je zappe!!! tu te soules ou tu te drogues entre temps ou quoi:)

Anonymous said...

Ya samsoum m'awsa3 belik!!!

@azwaw là c'est pas du tar, c'est le bandir.