Sunday, September 23, 2007

Le Syndicat tunisien des Radios Libres COMMUNIQUE


Le Syndicat tunisien des Radios Libres
COMMUNIQUE

Suite au lancement de la nouvelle radio nationale privée "Ezzeïtouna FM" le 13 septembre 2007,
- tenant compte du caractère restrictif de l'autorisation accordée à cette
radio fondée encore une fois sur des considérations d'ordre familial,
- constatant que la priorité dont devait bénéficier plusieurs porteurs de
projet, tel que:
* Radio 7 Décembre 1987
* Radio Carthage Juillet 1996
* Radio Medjerda Septembre 2000
* Radio Chiraa Mars 2004
* Radio Numédia Avril 2005
etc..., a été bafouée au profit de projets partisans.

Le Syndicat tunisien des Radios Libres,

- dénonce un simulacre de libéralisation des ondes fondé sur le favoritisme
et des pratiques peu transparentes,
- condamne l'émergence d'un duopole médiatique Etatico-familial qui
consolide la mainmise du pouvoir politique sur le secteur audiovisuel,
- confirme son engagement à poursuivre son combat pour ne pas laisser tomber dans le silence le cri de la liberté d'expression qui raisonne chez tous les tunisiens.

Pour le comité
Le Secrétaire Général
Salah Fourti
Email: syndicatunisien_radiolibres@yahoo.com

11 comments:

Ahmed said...

Dans ce cas, même Mosaique FM et Jawhara FM ont été fondée sur des considérations douteuses ?!

Big Trap Boy said...

الله يهديك يا سمسوم، حتى إنتي تسمع في هالبيانات متاع الكفار اللي ما يحبوش القرآن وإذاعة االزيتونة؟ ربي يهديك

@ Lowe:

Oui.

Unknown said...

@Samsoum
Merci d'avoir partagé...
Je ne savais même pas qu'il y avant un syndicat de radios libres.

@BTB
Tetmanyek 3al 3bed... ya wilek men 3dhab ennar ya BTB...

Anonymous said...

@ lowe
ce n'est pas une question fondée sur des considérations douteuses , on a jamais dit Mosaique MF ou autre sont considérés comme des bandits mais par contre le probléme se situe a cette détal présidentielle venu d'en haut : tout citoyen tunisien désirieux obtenir quelque chose méme un permis de louage , il faut que son dosier ''CV'' soit viérge depuis 20 ans chez la puiassante ''Big Brother'' ministére de l'intérieur . donc pour cette considération ''khobziste' Mosaique FM et la station Jawhara n'aborderont jamais la politique nationale , sauf la politique patisane de 7 novembre , aujourd'hui ces radios se sont devenue des khobziste avant-gardistes avec surnom fort sympatique : les statation Boudourou ....et les droits autres citoyens tunisiens ?? hani arth rabbi kbira , la terre est ronde et surtout vaste évidemment en exile a l'étranger a savoir el-jazira, canal hiwar et etc...

la conclusion de l'histoire a retenir concernant cette affaire des radios , journaux, tv, chez nous en tunisie , le citoyen tunisien est classé par le Rais et ca depuis 20 ans comme un objet sans valeur , un matriel ni a vendre , ni a exporter , aucune pays civilisés ne voudrait cette marchandise version moyen age ( évidemment exptés l'ex président francais en retraite jacque chirac'' : mange , chantes , danses , mais tais-toi ( koul,ochrob, ghanni, achtah , amma sakker fommek'' .



ramzi

الكاتب said...

بالله واحد من الوخيّان يعمل طلّة على المدوّنة متاعي ويقول لي اذا مازالت مفتوحة من تونس والاّ حطّولها القفل
http://taht-el-yessmina-fillil.blogspot.com/

وماذا بيكم تعملوا طلّة على آخر مستجدّات اضراب الجوع متاع ميّة الجريبي ونجيب الشابّي كان مازلتم ماسمعتوش بيه


بعد اذنكم، باش نعمل شويّة "بروباقندا" ..من أجل تونس
:-)

للّي في تونس: هذي 3 روابط لازم واحدة منهم باش تخطف:

http://www.youtube.com/watch?v=xbffCn6DO_A

http://www.dailymotion.com/video/x31n6s_les-dirigeants-du-pdp-en-greve-de-l_politics

http://smawebdesign.com/mcgallerypro/show.php?start=0&id=225&video=1

تحيى تونس الحرّة

أنيس said...

proxy frichk mta3 lioum:
https://www.cakebird.com/cgi-bin/index.cgi

https://www.iceknock.com/

https://www.junkblender.com/

Anonymous said...

Chbick dima tadhak ya anis ?

Anonymous said...

SYNDICAT TUNISIEN DES RADIOS LIBRES

Tunis le 27.9.2010
COMMUNIQUE
Suite au démarrage de Radio Shems FM le 27.09.2010 en vertu d’une convention signée entre la société Tunisia Broodcasting dirigée par madame Syrine Ben Ali épouse Mabrouk et le Ministère de la Communication, le Syndicat Tunisien de Radios Libres considère que la licence accordée à cette radio ne constitue nullement une ouverture médiatique, et confirme la main mise de "la famille" sur le paysage audio-visuel national.
Le STRL condamne une nouvelle atteinte à la liberté d’expression, et estime que cette attribution est un leurre liberticide de plus sur les ondes.
Le paysage audiovisuel en Tunisie est régi selon le Ministère de la Communication, par le Décret beylical du 25.04.1957 qui accorde à l’Etat un monopole total sur la production, la diffusion et l’émission des programmes de radio et de télévision. Mais ce même Ministère estime que les autorisations accordées aux radios existantes ne peuvent faire l’objet d’exemple aux autres projets pour qui le Décret demeure en vigueur. (Réponse datée du 23.03.2005 donnée par le Ministère de tutelle suite à une requête portée devant le Tribunal Administratif et référencée 12916/1).
Le STRL estime que cette réponse a constitué le fondement et la preuve irréfutable de la politique de deux poids et deux mesures appliquée envers des citoyens tunisiens de seconde zone mais aussi un choix délibéré qui renforce la situation de quasi-monopole Etatico-familial et assure un monologue ininterrompu de propagande en faveur du régime en place.
Pour étouffer toute dissidence audiovisuelle les autorités tunisiennes n’ont pas hésité à transgresser les règles les plus élémentaires des échanges sur la toile et se sont attaquées à deux radios indépendantes qui émettent sur internet en l’occurrence "Radio Kalima" et "Radio 6 Tunis", confisqué leurs matériels et mis sous séquestre leurs locaux sans aucune forme de procès ni fondement juridique.
Cependant de nombreuses autres radios non autorisées à diffuser sur les ondes, continuent, conformément d’ailleurs à leurs droit, à émettre sur le net à partir de la Tunisie sans être inquiétées.
Le STRL condamne énergiquement cette politique de non droit. Par ailleurs il appelle à la création d’une véritable instance indépendante qui aura pour objet de gérer le secteur en toute transparence sur la base d'un cahier de charges garantissant l'égalité entre tous les promoteurs nationaux essentiellement les gens de la profession, et d’appuyer les fondements démocratiques d’un Etat moderne.
Le Secrétaire Général
Salah Fourti

Anonymous said...

SYNDICAT TUNISIEN DES RADIOS LIBRES

Tunis le 27.9.2010
COMMUNIQUE
Suite au démarrage de Radio Shems FM le 27.09.2010 en vertu d’une convention signée entre la société Tunisia Broodcasting dirigée par madame Syrine Ben Ali épouse Mabrouk et le Ministère de la Communication, le Syndicat Tunisien de Radios Libres considère que la licence accordée à cette radio ne constitue nullement une ouverture médiatique, et confirme la main mise de "la famille" sur le paysage audio-visuel national.
Le STRL condamne une nouvelle atteinte à la liberté d’expression, et estime que cette attribution est un leurre liberticide de plus sur les ondes.
Le paysage audiovisuel en Tunisie est régi selon le Ministère de la Communication, par le Décret beylical du 25.04.1957 qui accorde à l’Etat un monopole total sur la production, la diffusion et l’émission des programmes de radio et de télévision. Mais ce même Ministère estime que les autorisations accordées aux radios existantes ne peuvent faire l’objet d’exemple aux autres projets pour qui le Décret demeure en vigueur. (Réponse datée du 23.03.2005 donnée par le Ministère de tutelle suite à une requête portée devant le Tribunal Administratif et référencée 12916/1).
Le STRL estime que cette réponse a constitué le fondement et la preuve irréfutable de la politique de deux poids et deux mesures appliquée envers des citoyens tunisiens de seconde zone mais aussi un choix délibéré qui renforce la situation de quasi-monopole Etatico-familial et assure un monologue ininterrompu de propagande en faveur du régime en place.
Pour étouffer toute dissidence audiovisuelle les autorités tunisiennes n’ont pas hésité à transgresser les règles les plus élémentaires des échanges sur la toile et se sont attaquées à deux radios indépendantes qui émettent sur internet en l’occurrence "Radio Kalima" et "Radio 6 Tunis", confisqué leurs matériels et mis sous séquestre leurs locaux sans aucune forme de procès ni fondement juridique.
Cependant de nombreuses autres radios non autorisées à diffuser sur les ondes, continuent, conformément d’ailleurs à leurs droit, à émettre sur le net à partir de la Tunisie sans être inquiétées.
Le STRL condamne énergiquement cette politique de non droit. Par ailleurs il appelle à la création d’une véritable instance indépendante qui aura pour objet de gérer le secteur en toute transparence sur la base d'un cahier de charges garantissant l'égalité entre tous les promoteurs nationaux essentiellement les gens de la profession, et d’appuyer les fondements démocratiques d’un Etat moderne.
Le Secrétaire Général
Salah Fourti

Anonymous said...

SYNDICAT TUNISIEN DES RADIOS LIBRES

Tunis le 27.9.2010
COMMUNIQUE
Suite au démarrage de Radio Shems FM le 27.09.2010 en vertu d’une convention signée entre la société Tunisia Broodcasting dirigée par madame Syrine Ben Ali épouse Mabrouk et le Ministère de la Communication, le Syndicat Tunisien de Radios Libres considère que la licence accordée à cette radio ne constitue nullement une ouverture médiatique, et confirme la main mise de "la famille" sur le paysage audio-visuel national.
Le STRL condamne une nouvelle atteinte à la liberté d’expression, et estime que cette attribution est un leurre liberticide de plus sur les ondes.
Le paysage audiovisuel en Tunisie est régi selon le Ministère de la Communication, par le Décret beylical du 25.04.1957 qui accorde à l’Etat un monopole total sur la production, la diffusion et l’émission des programmes de radio et de télévision. Mais ce même Ministère estime que les autorisations accordées aux radios existantes ne peuvent faire l’objet d’exemple aux autres projets pour qui le Décret demeure en vigueur. (Réponse datée du 23.03.2005 donnée par le Ministère de tutelle suite à une requête portée devant le Tribunal Administratif et référencée 12916/1).
Le STRL estime que cette réponse a constitué le fondement et la preuve irréfutable de la politique de deux poids et deux mesures appliquée envers des citoyens tunisiens de seconde zone mais aussi un choix délibéré qui renforce la situation de quasi-monopole Etatico-familial et assure un monologue ininterrompu de propagande en faveur du régime en place.
Pour étouffer toute dissidence audiovisuelle les autorités tunisiennes n’ont pas hésité à transgresser les règles les plus élémentaires des échanges sur la toile et se sont attaquées à deux radios indépendantes qui émettent sur internet en l’occurrence "Radio Kalima" et "Radio 6 Tunis", confisqué leurs matériels et mis sous séquestre leurs locaux sans aucune forme de procès ni fondement juridique.
Cependant de nombreuses autres radios non autorisées à diffuser sur les ondes, continuent, conformément d’ailleurs à leurs droit, à émettre sur le net à partir de la Tunisie sans être inquiétées.
Le STRL condamne énergiquement cette politique de non droit. Par ailleurs il appelle à la création d’une véritable instance indépendante qui aura pour objet de gérer le secteur en toute transparence sur la base d'un cahier de charges garantissant l'égalité entre tous les promoteurs nationaux essentiellement les gens de la profession, et d’appuyer les fondements démocratiques d’un Etat moderne.
Le Secrétaire Général
Salah Fourti

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SYNDICAT TUNISIEN DES RADIOS LIBRES

Tunis le 27.9.2010
COMMUNIQUE
Suite au démarrage de Radio Shems FM le 27.09.2010 en vertu d’une convention signée entre la société Tunisia Broodcasting dirigée par madame Syrine Ben Ali épouse Mabrouk et le Ministère de la Communication, le Syndicat Tunisien de Radios Libres considère que la licence accordée à cette radio ne constitue nullement une ouverture médiatique, et confirme la main mise de "la famille" sur le paysage audio-visuel national.
Le STRL condamne une nouvelle atteinte à la liberté d’expression, et estime que cette attribution est un leurre liberticide de plus sur les ondes.
Le paysage audiovisuel en Tunisie est régi selon le Ministère de la Communication, par le Décret beylical du 25.04.1957 qui accorde à l’Etat un monopole total sur la production, la diffusion et l’émission des programmes de radio et de télévision. Mais ce même Ministère estime que les autorisations accordées aux radios existantes ne peuvent faire l’objet d’exemple aux autres projets pour qui le Décret demeure en vigueur. (Réponse datée du 23.03.2005 donnée par le Ministère de tutelle suite à une requête portée devant le Tribunal Administratif et référencée 12916/1).
Le STRL estime que cette réponse a constitué le fondement et la preuve irréfutable de la politique de deux poids et deux mesures appliquée envers des citoyens tunisiens de seconde zone mais aussi un choix délibéré qui renforce la situation de quasi-monopole Etatico-familial et assure un monologue ininterrompu de propagande en faveur du régime en place.
Pour étouffer toute dissidence audiovisuelle les autorités tunisiennes n’ont pas hésité à transgresser les règles les plus élémentaires des échanges sur la toile et se sont attaquées à deux radios indépendantes qui émettent sur internet en l’occurrence "Radio Kalima" et "Radio 6 Tunis", confisqué leurs matériels et mis sous séquestre leurs locaux sans aucune forme de procès ni fondement juridique.
Cependant de nombreuses autres radios non autorisées à diffuser sur les ondes, continuent, conformément d’ailleurs à leurs droit, à émettre sur le net à partir de la Tunisie sans être inquiétées.
Le STRL condamne énergiquement cette politique de non droit. Par ailleurs il appelle à la création d’une véritable instance indépendante qui aura pour objet de gérer le secteur en toute transparence sur la base d'un cahier de charges garantissant l'égalité entre tous les promoteurs nationaux essentiellement les gens de la profession, et d’appuyer les fondements démocratiques d’un Etat moderne.
Le Secrétaire Général
Salah Fourti